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« Masevaux » 27 août, 2008
Pour continuer avec les oeuvres de mon père, voici Masevaux, réalisé à l’encre de Chine.
Pour continuer avec les oeuvres de mon père, voici Masevaux, réalisé à l’encre de Chine.
« Et dans la foule de ceux qui se dépêchent
D’être heureux avant tout,
Je serre les poings pour garder sous l’eau fraîche,
Un coeur petit comme un caillou. »
« Petit comme un caillou », William Sheller
Voici ma première tentative de broderie suisse, d’après un modèle trouvé sur le magnifique blog Un Bout de Toile:
Cela m’a tellement plu que je vais surement en faire d’autres: c’est simple et le résultat est vraiment sympa, vous ne trouvez pas?
En me promenant dans le jardin, ce matin, j’ai trouvé un papillon qui flottait, inerte, dans la bassine avec laquelle les enfants s’amusent, et qui était en partie remplie de l’eau de la pluie tombée dans la nuit. Je prends une feuille pour le sortir de l’eau me disant qu’il est très beau, mérite une photo et pourra me donner des idées pour une future broderie. Je le confie aux mains de mon petit mari pour pouvoir le photographier. Et alors que je prends le cliché, j’assiste au réveil de mon petit papillon que nous avons laissé sècher sur le rebord de la fenêtre et qui a fini par s’envoler.
Moment de beauté pure…
Joli, non?
Voici une autre encre de Chine de mon père: L’Homme assis. J’aime beaucoup sa douceur et la force qui se dégage de cette oeuvre.
L’Homme assis
Et vous?
Parce que c’est une de me chansons préférées:
» Un tableau ne vit que par celui qui le regarde. »
Pablo Picasso
Et voici une oeuvre réalisée par mon père à l’encre de Chine et représentant la Cité de Carcassonne. C’est un endroit que nous aimons tous dans la petite famille. Il l’a dessinée en 1974 et n’a pratiqué cette technique qu’une dizaine d’années car cela nécessitait beaucoup de concentration visuelle, et il y perdait la vue.
Voici une oeuvre réalisée à l’encre de Chine par mon père. C’est un enfant grimpé sur le dos d’un cheval de trait, bien généreux.
J’aime beaucoup cette oeuvre pour ses rondeurs et sa fraicheur. Et vous, elle vous plaît?
Je viens de terminer le Rituel de l’ombre de Giacometti et Ravenne. On est toujours dans le monde maçon, avec le commissaire Marcas, et on voyage entre Moyen Orient et Europe, entre 2nde Guerre Mondiale et 2005, avec, pour fil conducteur, la rencontre avec la transcendance, à travers le rituel initiatique, amer, de l’ombre.
Beaucoup d’info sur le LSD et le soma, très instructives pour ceux qui ont lu Le Meilleur des Mondes et s’intéressent à Aldous Huxley.
Le meurtre d’Hiram, les rituels maçons, les symboles…tout est passionnant et se dévore.