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La médecine du sport n’est pas fair play 4 octobre, 2016
Hier, j’ai fait mon entrée à l’hôpital à 8h30 (en fait, 9h30 car le périphérique de Toulouse reste un cauchemar) et je suis allée à la médecine du sport pour passer une épreuve d’effort à vélo (même épreuve qui m’a été refusée il y a 3 ans car la médecin responsable craignait que je m’effondre sur son bô vélô).
Bref.
A l’origine, je ne devais arriver à l’hôpital que l’aprem, mais, la médecine du sport a affirmé qu’il n’y aurait pas de médecin disponible le mardi. D’où, épreuve d’effort le lundi matin, sachant que les nuits sont compliquées et que je suis souvent malade le matin…
Rebref.
Comme le Grand Méchant Loup, j’ai soufflé, soufflé… et soufflé dans des tubes divers.
Source : cablexpress
Puis, une fois sur mon vélo, je croyais que j’allais pédaler genre… plus qu’en descente, puisque l’objectif était de savoir comment mon corps résistait sous l’effort. J’avais mis mes plus belles baskets, je n’ai même pas mouillé mon T-shirt!
La médecin n’a jamais changé l’intensité. J’ai donc fait 10 mn de roue libre avec ponction dans l’artère du poignet pour la gazométrie avant et à la fin (pendant que je pédalais!). Elle a trouvé que j’avais trop d’extrasystoles.
Épreuve terminée. Essoufflement : 0. Douleur dans les jambes : 0. Épreuve : 0. Frustration : maximale!
Ce rendez vous ayant été déplacé de mardi à lundi, je me suis retrouvée à passer la journée sans rien, à errer dans l’hôpital (en fait, juste cet aprem, parce que le matin est sous le signe du pipi). Enfin, pas tout à fait rien : j’ai tout déchiré au test de marche. Un peu ma revanche à moi!