La Pensée du jour 7 juillet, 2008
« Si vous trouvez que l’éducation coûte cher, essayez l’ignorance. »
A. Lincoln
Qu’en dites-vous?
« Si vous trouvez que l’éducation coûte cher, essayez l’ignorance. »
A. Lincoln
Qu’en dites-vous?
Voici un petit sac que j’ai eu grand plaisir à réaliser.
« L’Escarcelle »
Il vous plaît?
Pour en voir d’autres photos, vous pouvez vous rendre ici:
Et pour d’autres réalisations textiles, je vous envoie sur mon site:
Dites-moi si ça vous a donné des idées ou des envies.
Aujourd’hui, c’est une date anniversaire, alors j’ai d’autant plus de pensées pour mon petit Papa.
Aussi, voici une chanson qui me rapproche de lui:
« Confidentiel »
Je voulais simplement te dire
Que ton visage et ton sourire
Resteront près de moi sur mon chemin
Te dire que c’était pour de vrai
Tout ce qu’on s’est dit, tout ce qu’on a fait
Que c’était pas pour de faux, que c’était bien.
Faut surtout jamais regretter
Même si ça fait mal, c’est gagné
Tous ces moments, tous ces mêmes matins
Je vais pas te dire que faut pas pleurer
Y a vraiment pas de quoi s’en priver
Et tout ce qu’on n’a pas loupé, le valait bien
Peut-être que l’on se retrouvera
Peut-être que peut-être pas
Mais sache qu’ici bas, je suis là
Ça restera comme une lumière
Qui me tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui s’éteint pas.
Jean-Jacques Goldman, Non Homologué, 1993
Comme promis, voici une autre chanson de Loreena McKennitt.
J’espère qu’elle vous enchantera aussi.
http://www.dailymotion.com/video/xev62
Voici le cadeau réalisé de mes blanches mains, que j’ai offert à Petit Nathan:
Un sac-à-dos spécial bébé.
Si vous voulez savoir comment je l’ai conçu, rendez-vous ici:
Il vous plaît?
Je viens de finir L’Enlacement de François Emmanuel. C’est mon petit mari qui m’a offert ce livre, sûrement parce que sur la 4ème de couverture, on parle du Belvédère de Vienne et de L’Enlacement de Schiele.
En fait, il s’agit du rapprochement sensuel et mental d’un homme et d’une femme vu à travers le regard du personnage masculin. Ce dernier est déstabilisé par cette femme fragile, à fleur de peau et distante, qui perd pied à l’écoute d’un texte ou la vision d’une peinture.
Leur rapprochement est raconté en 89 pages, mais, je trouve qu’on se perd en redites et en projections mentales considérées comme un événement qui a réellement eu lieu. Je m’explique en citant un passage de la page 85: « Et près de quinze ans plus tard dans sa maison d’Annonay, je la retrouverais pareille à elle-même, infiniment, je retrouverais tout en elle, sa retenue, son charme un peu hautain, son élégance raffinée, mais elle était devenue presque une vieille dame. » On a tous les indices pour penser que nous suivons la réflexion du personnage masculin, nous sommes dans ses pensées, ses projections mentales, une focalisation interne dans du potentiel: ce qui pourrait avoir lieu. Et, c’est en fait, ce qui a vraiment eu lieu . Cette technique est souvent employée dans l’ouvrage et laisse perplexe, rendant la narration emberlificotée entre analepse et récit prospectif.
19 ans aujourd’hui que j’ai perdu ma petite Mémé, et pourtant, je peux toujours sentir l’odeur de son tablier quand je posais ma tête sur ses genoux.
Je pense qu’on ne perd jamais vraiment les personnes qu’on a aimées très fort.
Alors, à mes deux grand-mères qui étaient très croyantes, je voulais envoyer ce petit message extrait de la Bible, Nouveau testament, 1 Corinthiens 15,53:
» En effet ce qui est mortel doit se revêtir de ce qui est immortel;
ce qui meurt doit se revêtir de ce qui ne peut pas mourir.
Lorsque ce qui est mortel se sera revêtu de ce qui ne peut pas mourir
alors se réalisera cette parole de l’écriture:
« La mort est détruite;
la victoire est complète! »
« O mort, où est ta victoire?
O mort, où est ton pouvoir de blesser? »"
Pour rappel, voici le lien vers le site qui informe sur les maladies orphelines.
Merci de ne pas nous laisser tomber vous aussi.
« Les Pantoufles du Samouraï » Patrick Cauvin
Et voilà un Cauvin de fini. J’en ai déjà lu 17 (j’ai commencé au collège avec E=MC², mon amour), je les ai presque tous adorés.
Celui-ci, je l’aime un peu moins.
Il s’agit du journal d’un homme âgé à qui il arrive de drôles de choses. Les événements sont si étonnants qu’il ne peut que les porter sur le papier pour pouvoir les transformer en témoignage, ce qui l’oblige à poser un regard, certes, sans concession, sur ce qu’a été sa vie… C’est drôle, bizarre, mais, on se perd, parfois, dans le récit (effet surement voulu par l’auteur pour rendre la pensée de notre petit vieux), ce qui rend la lecture par moments laborieuse.
Chanson idéale pour marquer le premier jour de l’été (avec un vrai soleil) et la Fête de la Musique.
Que ce soit avec un accordéon, une guitare ou une bombarde, faites-vous plaisir en musique!!!