La dernière semaine de juillet, nous sommes allés en Franche-Comté, patrie de ma famille du côté de mon père. Ici, dans le Sud, il faisait très chaud… Là-haut, on a allumé le poêle à bois chaque jour…
Le gîte était immense, avec un accès par la grange (sympa quand il pleut pour pouvoir jouer au ping-pong…). Et, dans la grange, il y avait… un métier à tisser très ancien!
Et un jeu de quillettes, depuis longtemps dans la famille des propriétaires!
Je voulais me reposer un peu, mais comment résister à l’envie de sortir pour visiter, jouer, se promener…
Avant de partir, j’avais repéré une balade encadrée qui me faisait envie: »Si la forêt m’était contée… » où un guide de moyenne montagne se proposait de faire le lien entre les arbres et les légendes du cru… Malheureusement, il fallait être ceinture noire de balade et j’ai attendu mes hommes au gîte… Le lendemain, ils étaient dans le journal (ben oui, pour une fois qu’ils font une rando, tu m’étonnes!). Un indice : j’ai deux garçons sans lunettes et mon homme en porte…
La Franche-Comté, ses clochers à bulbe…
…ses champs de blé…
…ses châteaux et plus particulièrement Belvoir avec sa Tour du Madge-Fâ où la sculpture sous l’échauguette semble faire caca sur les assaillants (!), et les halles du village…
…et ses tas de bois… Vous connaissez la blague? « Quand Homme Blanc faire gros tas de bois, hiver rude »… Et ben , préparez vous, l’hiver sera super rude!
Nous sommes aussi allés au Dino Zoo où on a vu des dinosaures (« terribles lézards » en grec) grandeur nature:
Et on a passé quelques heures dans le parc de Consolation qui est, à présent payant, et donc envahi de gens qui pensent qu’ils peuvent faire un bruit monstre et laisser leurs cochonneries partout puisqu’ils ont payé!
Le séjour s’est fini sur une dégustation de chocolat à l’absinthe : dans le Doubs, absinthe-toi!
N’oubliez pas le dicton : »Là où flotte le drapeau comtois, qui que tu sois, tu es chez toi »
