Attention! 27 juin, 2024
Je n’ai jamais essayé de boire de l’eau de Javel, c’est pas pour ça que ça me tente!
Source : Le Blog de Michel
« La Tribu de Dana », Manau 22 juillet, 2021
Cette chanson nous a suivis pendant notre séjour en Bretagne.
Je l’aime toujours autant et je continue de chercher Hakim, le fils du forgeron…
Notre Dame de Paris : A l’ombre des Tours du Monument 17 avril, 2019
Un reportage magnifique et qui fait office de mémoire désormais…
L’enfer au cœur de la Cathédrale 16 avril, 2019
Source : L’Est Républicain
« Tous les yeux s’étaient levés vers le haut de l’église. Ce qu’ils voyaient était extraordinaire. Sur le sommet de la galerie la plus élevée, plus haut que la rosace centrale, il y avait une grande flamme qui montait entre les deux clochers avec des tourbillons d’étincelles, une grande flamme désordonnée et furieuse dont le vent emportait par moments un lambeau dans la fumée. Au-dessous de cette flamme, au-dessous de la sombre balustrade à trèfles de braise, deux gouttières en gueules de monstres vomissaient sans relâche cette pluie ardente qui détachait son ruissellement argenté sur les ténèbres de la façade inférieure. A mesure qu’ils approchaient du sol, les deux jets de plomb liquide s’élargissaient en gerbes, comme l’eau qui jaillit des mille trous de l’arrosoir. Au-dessus de la flamme, les énormes tours, de chacune desquelles on voyait deux faces crues et tranchées, l’une toute noire, l’autre toute rouge, semblaient plus grandes encore de toute l’immensité de l’ombre qu’elles projetaient jusque dans le ciel. Leurs innombrables sculptures de diables et de dragons prenaient un aspect lugubre. La clarté inquiète de la flamme les faisait remuer à l’œil. Il y avait des guivres qui avaient l’air de rire, des gargouilles qu’on croyait entendre japper, des salamandres qui soufflaient dans le feu, des tarasques qui éternuaient dans la fumée. Et parmi ces monstres ainsi réveillés de leur sommeil de pierre par cette flamme, par ce bruit, il y en avait un qui marchait et qu’on voyait de temps en temps passer sur le front ardent du bûcher comme une chauve-souris devant une chandelle. »
Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, livre X, chapitre IV, 1831.
Alice, Robin, une chenille, des théières… 6 juillet, 2018
Samedi, nous avons fêté l’anniversaire de Robin. Ce n’était pas la bonne date, mais comme il est né le 18 juillet, ses copains sont rarement présents le jour J. Du coup, on anticipe toujours.
Après Le Seigneur des Anneaux, la Guilde de Fairy Tail, on a utilisé un autre univers cher à Robin (et à moi aussi) : Alice au Pays des Merveilles.
Illustration de John Tenniel
J’ai rempli des bouteilles de limonades de Morteau (« la Mortuacienne ») avec du jus de fruit, et une bouteille de rhum, d’eau.
Sur les étiquettes, l’emblématique « Drink Me »
Le gâteau représente une vue du terrier du Lapin Blanc pendant la chute d’Alice. Les décorations sont en pâte à sucre.
Avec les morceaux retirés aux gâteaux, j’ai fait un « junior » contre lequel s’adosse la Chenille. Elle est en pâte d’amande ainsi que les champignons qui l’entourent.
Sauf le crocodile qui est un bonbon, mais qui colle bien avec le poème.
Sur la table, j’ai disposé des cartes avec les principaux personnages d’Alice et des théières de toutes sortes.
De l’une d’elles sort le petit Mulot endormi que j’ai réalisé en laine piquée.
Dans un grand chapeau, j’ai caché ma réserve de bonbons.
A l’occasion de cet anniv, j’ai compris d’où venait le Mad Hatter. Je partage : il se trouve que les chapeliers travaillaient avec des produits très toxiques, notamment du mercure pour permettre un meilleur feutrage des poils de lapin. Et ces produits ont tendance à faire des dégâts, d’où l’expression anglaise: »Mad as a hatter » et sûrement, la française : « travailler du chapeau ». A ce sujet, je ne saurais trop vous conseiller le super article de Savoirs d’Histoire.
Sont absents de ma table le Chat de Cheshire, mais c’est la coque de mon téléphone.
et les fleurs du mois de mai fleuri que je n’ai pas eu le temps de réaliser, ayant eu l’info de l’anniv le dimanche pour le samedi suivant…
Leonard Cohen a rejoint le ciel 11 novembre, 2016
J’aime beaucoup « Suzanne »
Il doit être au milieu des anges en train de chanter « Hallelujah’…
Brexit… 24 juin, 2016
… Ou l’histoire d’un désamour que le Huffington a bien résumé dans cet épisode d‘Amour, Gloire et Brexit:
Il y a des fautes, mais je trouve que c’est assez clair.
On pourrait conclure par cette chanson des Beatles :
Avec la sortie de la Grande Bretagne de l’Union Européenne, nous perdons l’Ecosse, et l’Irlande du Nord qui, majoritairement, souhaitaient rester. Et c’est bien dommage.
Ne pas s’encombrer… 11 juillet, 2013
En ce moment, nous sommes en mode « Libérons-nous du matériel ».
Alexis est très fier de moi : hier, nous avons rempli 3 sacs poubelle de 100 litres de vêtements qu’il a déposés dans le réceptacle des « Fils d’Ariane ». J’ai renoncé à plein d’habits partant du principe qu’on ne peut pas être et avoir été et que, non, je ne referai pas du 38 ou du 40, tant pis!
C’est idiot à quel point on s’attache à des habits portés à des moments importants de notre vie…
Quand j’étais petite… 9 avril, 2013
… J’étais super Jamie (dans ma tête…) et je faisais regretter leurs mots à tous ceux qui ne me parlaient pas bien…
Aujourd’hui, je regrette souvent cette capacité à me prendre pour une super héroïne, du coup, j’ai cherché un moyen de récupérer mes super pouvoirs! Et j’ai trouvé ce tableau génial qui vous propose votre nom de super balèze. Il suffit de prendre l’initiale de votre prénom dans la première colonne et celle de votre nom dans la seconde et c’est parti!
Source : Holykaw
En ce qui me concerne, je suis : Plucky Juggernaut (« Mastodonte Courageux ») et j’en suis très fière! A vous de jouer!
Mag Power!
